[CDA-Mordheim] Le fluff annexe de ma bande d'orques !

Coucou les gens !
Suite à une insistance de Vg11k, je me suis dépéché d'écrire la première partie du fluff de ma bande mordheim, les Orques de la Fowaaagh ! Du shadock ardent.
Le voici, bonne lecture !


Litrik était assit sur son trône.
Cela faisait trois jours qu’il n’avait pas quitté le village avec sa tribu pour chasser les elfes sylvains de son pire ennemis, Neitag, de ses terres.
Faut dire que depuis qu’il s’est autoproclamé Seigneur des Collines désolées, il avait chassé tout ennemis de la zone, même ces mystérieux elfes sylvains qui était sorti de leur forêt pour quelques raisons inconnues.

Ses orques s’impatientaient, et lorsqu’ils commençaient à se battre entre eux par ennuis, Litrik réglait les différents par coup de boulle.
En tant qu’orque noir, il détestait l’indiscipline mais il commençait par lui-même s’ennuyer.

Soudain, un orque à moitié nu déboula dans la tente de Litrik.
Il s’agissait de Rashgaz, un des trois chamans « conseillers » du puissant chef :

« Chef ! Chef ! Jé trouvé in truc ! Jé révé de quek chose !
-Bon, djà tu vat’calmé, chui pas d’humeur a suporté des kris.
-Alor’ voila… Ya Gork é Mork ki son vnu m’kausé dan mes rev’.
-Enkor ? T’fou pa d’mal gueul ! La dernièr foi kon m’a di sa, c’été pour m’fair cherché un kaillou soi disan magik qui noua vé servi a keudal é ka kassé la moitié d’mon village ! »

Le caillou en question était en fait une pierre gardienne des elfes.
Mork (ou peut-être Gork) avait dit à Zak, un autre chaman, d’aller chercher cette pierre pour la retailler à l’effigie des dieux.
Mais Zak tenta de la tailler avec de la magie au milieu de la place du village.
Ce qui eu pour effet de provoquer un retour d’énergie de la pierre gardienne qui fit sauter la moitié des bâtiments à proximité, sous les rires imbéciles des spectateurs peaux vertes.

« Mé là c’est diféran ! Dit alors Rashgaz.
-Et en koa sa sré diféran ?
-Il s’agi eud fèr devnir’ lézork maitre du mond’. »

Litrik réfléchissait.
Oui, réfléchissait.
Cela pouvait paraitre étrange pour un orque, mais les Collines Désolées, ce massif rocailleux proche des Collines Hurlantes était couvert fréquemment d’un brouillard vert étrange et ce depuis des siècles, depuis la sombre nuit « Du Crachat de Morrslieb » où de la pluie de malepierre liquide tomba .
Ce brouillard faisait muter tout les êtres vivants, si bien, que la zone est infestée de mutants et d’horreurs chaotiques.
Cependant, le mal semblait depuis toujours ne pas affecter les peaux vertes.
Ou du moins de la même façon que les autres races. Les peaux-vertes devenaient plus intelligents.
Litrik en premier.

C’est ce qui les avait poussé à devenir sédentaire et fonder le début d’un empire de peaux-vertes, dont le début serai le village de Litrik.

« Parl’ ! Ekespose plus’ ta vizion…
-Ecouté chef…. Vou zallé trouvé sa bizar’, mé il nou on demendé de changer nos koutum’ é de servir’ la plu grand’ Waaagh ! Eud tout lé tan ki s’prépar.
-Kel koutum’ ?
-Dja fô qu’vou changié d’armur ‘, é kon peindur not ékipment en môve, jône é bleuh. Mé y zon ôssi di k’on dvé kitté lé kollines pour zaller a Mordaïme, la ville kassé des zom.
-Et pour koa fère ? é pourkoa enlevé mon armur’ ?»

Litrik était anxieux.
Déjà les dieux lui demandaient de changer d’armure, c’était pas bon signe.
En effet, un affrontement contre des créatures chaotiques, quand il était encore un tout petit bébé orque, l’avait brûlé à haut niveau. Si bien que désormais, une réaction étrange se produit lorsqu’il est en contact avec les vents de magie on les rayons du soleil : il brûle. C’est de là que viens son sobriquet, Litrik Pôrouge’.
Seule son armure magique, créée par son bras droit, porteur de la grande bannière, mais surtout forgeron, Norls.

« N’vou inkièté pô ! lé dieu zi mon di qu’vou auré une nouvel’ armur’ magik. »

Ziiiiiooooooopscch ! Blam Dong dong dong…..
A peine le chaman avait-il fini sa phrase, que se matérialisa dans un grand flash vert et avec grand fracas, entre Rashgaz et Litrik, un amas de métal.
Méfiant, Rashgaz s’approcha et souleva l’amas de métal, qui était en fait très léger. Il s’agissait d’une armure très étrange, couverte de grandes piques dans le dos.

« Tu dizé donk vré ! Souffla Litrik émerveillé.
Prépar’ té zafère é dit aux Boyz qu’on va biento s’marré !
On va a Mordaïme ! »


Voila !
Dans la suite vous saurez pourquoi c'est la Fowaaagh ! Du shadock ardent.

A vos critiques, tirs incendiaires, ou bizoux !

Ouais c'est pas mal.
J'aimerais savoir pourquoi oui !!
On attend la suite avec impatience !
a+

Le coup des orks intelligents m'a fait sourir, c'est bizarre quand meme.

Le principe est bien, mais je ne peux pas trop critiquer en fluff car je ne joue pas à Battle.
Que ca provienne d'un rêve je trouve ca marrant est pas mal.
Au niveau du vocabulaire(peut être pas important) je le trouve peut être un peu trop dévellopé à certains moments:

Citation :

c’été pour m’fair cherché un kaillou soi disan magik qui noua vé servi a keudal é ka kassé la moitié d’mon village

Ce serait plutot "c'été pour m'fair cherché un kaillou kon ma di k'il été magik qui noua vé servi a keudal é ka boumé la moitié d'mon coin ou cé kya mé ga"

Mais peut être que son intelligence surpasse tous les orks de tout l'UNIVERS.

Moi aussi j'aime bien, mais des fois le vocabulaire est effectivement un poil poussé pour un ork. M'enfin on veut la suite, du streum, de la chique et du sang qui tâche.

Kis'

Tu n'as pas tort M. Fenix !
C'est pourquoi je suis (avec Vg11k) de revoir le type de language.

Pour le coup des orques intelligents, c'est pas moi qui l'ai inventé, d'autre on essayé le concept aussi !^^
(Je me souviens d'un diorama qui représentait des orques qui allaient à l'école, ça m'avait fait marrer !^^)
Le fluff des collines existait déjà, je n'ai fait que l'exploiter pour qu'il aille à ma tribu d'orques.

Pour la suite elle viendra quand je me remettrai à écrire, déjà que ce qu'il y a au dessus c'était un exploit pour moi !^^
Je vais voir pour m'y remettre ce soir.

Là ce n'est que l'intro, la prochaine fois ils se frotteront aux sbires elfes de Yodan !
Et si il me donne la permission, je lui vole sa grande bannière tiens !

Merci pour vos message, ça fait plaisir !^^

Voici la nouvelle version, avec des dialogues amélioré.
Merci à Vg11k et à M.Fenix pour votre aide !
Voila:
Bodork était assit sur son trône.
Ça faisait trois jours qu’il n’avait pas quitté le village avec sa tribu pour chasser de l'elfe sylvain, avec à leur tête son pire ennemi Eltarios.
Faut dire que depuis qu’il s’était autoproclamé Seigneur des Collines désolées, il avait chassé tous ennemis de la zone, même ces mystérieux elfes sylvains qui étaient sortis de leur forêt pour quelques raisons inconnues.

Ses orques s'impatientaient. Et quand il s'impatientaient, ils se battaient entre eux. Et Bodork réglait ça à coups de boules.
En tant qu’orque noir, il détestait indiscipline mais il commençait à lui-même ennuyer.

Soudain, un orque à moitié nu déboula dans la tente de Bodork.
Y s’agissait de Rashgaz, un des trois chamans « conseillers » du puissant chef :

« Chef ! Chef ! J'é trouvé un truk ! J'é rêvé de que'k chose !
-Bon, d'jà tu va t’calmer, ch'ui pas d’humeur a supporter tes kris.
-Alors voila… Y'a Gork et Mork qui son v'nus m’kauser dan mes rev’s.
-Enkor ?' T’fou pas d’ma gueul'! La dernière fois qu'on m’a dit ca, c'été pour m'fair cherché un kaillou kon ma di k'il été magik qui noua vé servi a keudal é ka boumé la moitié d'mon coin ou cé kya mé gars! »

Le caillou en question n'était en fait une pierre gardienne des elfes.
Mork (ou peut-être Gork) avait dit à Zakou, un autre chaman, d’aller chercher cette pierre pour la retailler à l’effigie des dieux.
Mais Zakou tenta de la tailler avec de la magie au milieu de la place du village, ce qui eu pour effet de provoquer un retour d’énergie de la pierre gardienne qui fit sauter la moitié des bâtiments à proximité, sous les rires imbéciles des spectateurs peaux vertes.

« Mé là c’est différant ! Dit alors Rashgaz.
-Et en quoi sa s'rait différant ?
-Y s’agit eu'd faire d'venir’ les z'ork maitre du monde. »

Bodork réfléchissait.
Oui, réfléchissait.
Cela pouvait paraitre étrange pour un orque, mais les Collines Désolées, ce massif rocailleux proche des Collines Hurlantes était couvert fréquemment d’un brouillard vert étrange et ce depuis des siècles, depuis la sombre nuit « Du Crachat d'Morrslieb » où de la pluie de malepierre liquide tomba.
Ce brouillard faisait muter tout les êtres vivants, si bien que, la zone était infestée de mutants et d’horreurs chaotiques.
Cependant, le mal semblait depuis toujours ne pas affecter les peaux vertes.
Ou du moins de la même façon que les autres races. Les peaux-vertes devenaient plus intelligents.
Bodork en premier.

C’est ce qui les avait poussés à devenir sédentaire et fonder le début d’un empire de peaux-vertes, dont le début serai le village de Bodork.
« Parl’ ! Ekespose plus’ ta vizion…
-Ecoutez chef…. Vous z'allez trouver ca bizar’, mé il nous ont demandé de changer nos kostum’ et d'servir’ la plu grand’ Waaagh ! Eu'd tout les temps qui s’prépar'.
-Kel' kostum’ ?
-D'ja fô qu’vous changiez d’armur ‘, et k'on r'peintur' not équip'ment en mô've, jô'ne et blheu. Mé y z'ont ôssi dit k’on dvé quitter les k'ollines pour z'aller a Mordaïme, la ville k'assée des z'homm'.
-Et pour'koi faire ? Et pour'koi enlever mon armur’ ?»

Bodork était anxieux.
Son armure magique il l'aimait. Elle avait été forgée par des nains a l'origine, mais fut capturée et réadaptée à sa taille. Elle le protégeait de tout, ou presque.

« N’vous ink'iètez pô' ! les dieux z'y m'ont dit qu’vous aurez une nouvel’ armur’ magik'. »

Ziiiiiooooooopscch ! Blam Dong dong dong…..
A peine le chaman avait-il fini sa phrase, que se matérialisa dans un grand flash vert et avec grand fracas, entre Rashgaz et Bodork, un amas de métal.
Méfiant, Rashgaz s’approcha et souleva l’amas de métal, qui était en fait très léger. Il s’agissait d’une armure très étrange, couverte de grandes piques dans le dos.

« Tu dizais donk' vrai ! Souffla Bodork émerveillé.
Prépar’ tes z'affair' et dit aux Boyz k’on va bientot s’marrer !
On va a Mordaïme ! »


To be continued.....

me voili me voila me voilo
jvais pas revenir sur l'écriture des dialogues orques, ce n'est que mon avis mais nous ont est des hommes, et même si c'est des ork ki parl' fô pas trop s'lacher sur l'ortôgraf, que des z'humains k'om nous puissent lire =p

sinan le concept d'orque intelligent reste à démontrer, on verra cela sur le champ de bataille, mais cela fait sourire
des orques à l'écoles ? va falloir que je cherche cela lol

le coup de la pierre des elfes sylvains est pas mal pensé, j'aime bien

cependant un détail qui ne regarde que moi : les dirigeant orques ne sont-ils pas un peut plus brutals envers leurs adjoints ?

après j'my connait pas assez en fluff orque, j'ai seulement lut la biographie de grimbor boitenfer et la saga orque de chez bragelonne donc c'est un peut juste... donc je vais pas être très utile pour les caractériser


sinan vivement sa suite ! sa sent la grosse marade les boyz !

Citation :

sinan le concept d'orque intelligent reste à démontrer, on verra cela sur le champ de bataille, mais cela fait sourire

J'avais commencé a écrire un roman, dont j'étais arrivé au chapitre trois.
C'était assez conséquent, il expliquait le fluff et l'histoire très étoffée de mon armée a batteul.
Il était accompagné du livre d'armée entièrement Made by Litrik, qui décrivait les règles des orques intelligents, qui dans mon armée remplaçait les kostos.

L'ennui c'est qu'un jour, un pick pockette m'a volé mon portefeuille, et ma clef USB était dedans.
J'avait tout perdu ! J'était dégouté de l'écriture.
Mais c'est ce forum qui m'a remis dans le bain, et je vous remercie cher membre !

Citation :

le coup de la pierre des elfes sylvains est pas mal pensé, j'aime bien

Un des épisodes principal de mon roman.
Les elfes sylvains cherchent en fait a soigner la région du mal qui l'habite.
Une vielle légende du fluff des Collines Désolées parle d'une ruine elfique dans la région, qui chaque année redeviendrai pleine de vie, et qu'un jours ces elfes mysterieux soignerai la région.
J'ai en fait choisi d'en faire des elfes sylvains, qui aurai grâce à leur magie (qui consiste en des chemins qui relie toute les forêts du monde par des portails invisbles)
créé un portail dans cette ruine pour soigner les collines.
Et qui se serai frotté à mes orques qui donc essayaient au nom de leur dieu de prendre les pierres magiques qui constituaient le portail !^^

Citation :

cependant un détail qui ne regarde que moi : les dirigeant orques ne sont-ils pas un peut plus brutals envers leurs adjoints ?

C'est vrai ! Mais ceci est dû au fait que Litrik est un peu comme Arthur dans Kaamelott:
"C'est bien, c'est une idée moderne...."
C'est aussi l'influence du brouillard.

Tiens, marrant, j'avais pas vu ton flouffe (dsl )
Pour les com':
Moi j'aime bien les dialogues style orques, c'est ce qui fait leur charme. Par contre le chef étant + intelligent, ces phrases devraient être un poil mieux (d'ailleurs cela pourrait susciter de l'incompréhension chez ses sbires...).
Les descriptions pourraient être plus simplifiées (car vues par des orques),et les phrases plus dans l'esprit orque: ça c'était bien :

Citation :

il s’était autoproclamé Seigneur des Collines désolées

Mais ça c'était moins bien:

Citation :

Mais Zak tenta de la tailler avec de la magie au milieu de la place du village, ce qui eu pour effet de provoquer un retour d’énergie de la pierre gardienne qui fit sauter la moitié des bâtiments à proximité

Neitag ne fait pas nom d'Elfe!

Et je n'aime pas trop ça (le style est lourd):

Citation :

Ses orques s’impatientaient. Et lorsqu’ils commençaient à se battre entre eux par ennuis, Litrik réglait les différents par coup de boule.
En tant qu’orque noir, il détestait l’indiscipline mais il commençait à lui-même s’ennuyer.

Proposition sur le fil, non mûre, non réfléchie : "Ses orques s'impatientaient. Et quand il s'impatientaient, ils se battaient entre eux. Et Litrik règlait ça à coups de boules." (c'est pas super, mais peut-être un peu plus fluide).

Mais sinon c'est nickel, la suite! (d'ailleurs grande bannière, pourquoi pas? il faut que j'y réfléchisse...)

Salut !
Alors voila vous pouvez relire, j'ai édité le texte précédant.
J'ai changé la donne, ce n'est plus Litrik mais un autre orque noir qui s'était installé surles même terre longtemps auparavant et qui a subit les même effet du au brouillard que Litrik.

J'ai suivit les remarques de Yodan, bien que je ne mettrait pas incompréhension dans les dialogues.
Je ne cherche pas à faire un Azagh le massacreur bis.
Il est certes plus intelligent, cela ne change pas qu'il a toujours une mentalité d'orque.
Azagh lui, avait une mentalité de liche, c'est carrément diffèrent.

Quelques incohérences dans les noms^^
On voit encore un Litrik, et un Zakou/Zak au lieu de Zak/Zakou.
D'aillurs t'étais pas obligé de prendre ma proposition de phrase telle quelle, ça e m'aurait pas véxé (c'est ton texte )

Que du bon!

J'adore le langage des orques^^
Que du bon, à part comme dit plus haut quelques incohérence par ci par là, mais globalement, c'est très bien. Allez, la suite, mes nabots s'impatientent.

Rappelle toi, t'as le Ver dé nabots avec toi.

Désolé Arik ! Mais le ver dé nabot c'est pas tout de suite !
Le prochain épisode certainement !
Pour l'instant c'est le shadock ardent !

Voila le texte:


Le départ était imminent.
Bodork avait vêtu sa nouvelle armure. Elle lui sembla bien moins confortable que la précédente, certainement à cause de l’habitude.
Il avait fait son balochon « Al’ arach’ » tant il était pressé. Il l’avait mis sur son épaule au bout d’un bâton.
Il contenait un peu de viande de squig, d’auroch, et d’elfes (parce que c'est une viande ké bonne !), ainsi que son ancienne armure, afin de pouvoir l’avoir si la nouvelle n’était à la hauteur.
Il empoigna ses armes, et se retourna vers les autres orques qui se préparaient aussi. Il avait « convié » à sa quête ses meilleurs orques, mais laissait le reste des troupes sur place ainsi que Kurk, le chef « remplaçant » à leur tête pour défendre le village en son absence.
Rashgaz lui avait expliqué les tenants et les aboutissants à leur voyage à la cité maudite. Leur but était de récupérer une pierre cachée, un bout de la chose « k’est tombé du ciel là bas».
Cette pierre, extrêmement dangereuse, possèderai le pouvoir de rallier n’importe qui, de n’importe quelle race qu’il soit, a la cause de son porteur.
C’est la légendaire « Pièr’ eud’karissm’ »

Les dieux ont été clairs. Il fallait se fier pour trouver le chemin, à une créature mystique célèbre dans les légendes peaux-vertes : Le Grand Shadock Ardent, avatar de la furie de la waaagh !
Il dirent aussi « k’un grand pouvoâr se lève » et que « l’temps dé zom est terminé, l’temps d’la Fowaaagh ! est arrivé » et enfin que « sui ki port’ra la pièr’ eud’Karissm’, l’aura pour lé gouver’né tous, et dans le Grand vert, les lié ! »

Bobork avait fini de se préparé, il dit alors :
« Cé bon ! On n’y va chui pré ! »

Les orques, armés jusqu’aux dents, quittèrent le village par la grossière porte de bric et de broc faite dans le mur qui entourait la ville, et marchèrent pendant une heure dans les collines, se filant parfois des coups de pied et se chamaillant. Mais au bout d’un moment ils cessèrent de marcher, par ordre de Rashgaz.

« Koa enkor ? Kest’a vu ? Grogna Bodork.
-Là bas derrièr’ le narbre ! rgar’dé ! »
-Cété donc ça s’todeur depuis toutaleur ! déduisit le chef.
-Il zon pa l’air comme ceu k’on tape d’abitud’. Remarqua Pif, un des kosto de la bande, et qui adore trucider les elfes.
-Cé vrai. On dirai k’il zon des cask’pointu ! Et il zon dés zarmur’, cè pa normal. On va s’approché pour mieu k’on va voir… »

Ils avancèrent de quelques mètres et cela ne loupa pas, les hauts elfes les remarquèrent et leur tirèrent dessus.
Bodork voulu se mettre à l’abri, mais les flèches l’atteignirent quand même.
Il se passa quelque chose d’inattendu : Alors que les flèches percutaient l’armure, elles se consumèrent presque instantanément. Bodork n’en revenait pas, mais il n’avait pas le temps d’étudier plus le phénomène car les tirs continuaient de pleuvoir.
Non seulement sur Bodork, mais aussi sur ses camarades.
Pif avait un projectile fiché dans l’épaule droite, mais cela ne l’empêchait pas de courir en braillant Waaagh ! à tue tête. Bodork se joignis à lui pour la baston ainsi que les orques qui n’étaient pas encore à terre à cause des tirs.

10 mètres de course exaltante, et bientôt les tireurs furent à portée de sa hache.
Il abattit d’ailleurs celle-ci sur le premier elfe venu, provoquant un bruit immonde de chaire tranché, ou plutôt broyée compte tenu de la taille de la hache. Un autre elfe surgit de derrière le premier, un lancier.
Le guerrier aux oreilles pointu voulu donner un grand coup pour transpercer l’orque noir à un point sensible, mais celui-ci esquiva le coup en se balançant sur le côté. L’elfe frappa une seconde fois, d’estoc cette fois ci. Le coup percuta le flan de l’armure de Bodork, celle-ci émis alors une gerbe d’étincelles mais ne rompis pas.
Le lancier resta bouche bée, ce qui fut son erreur car la hache de son adversaire le décapita.

Bodork regarda autour de lui à la recherche d’un nouvel adversaire, ce qu’il vit le pris de stupeur. La bannière des elfes représentait un volatil de flamme sortant d’un sol de lave.
« Le Shadock ardent. » Dit-il tout haut pour lui-même.

Il avança alors au milieu des combats en direction du porteur du drapeau. Un autre combattant elfe vit alors un grand orque noir avec une armure de hérisson avancer tranquillement vers sa grande bannière, sans adversaire.
Il s’interposa alors toute armes dehors, mais Bodork le repoussa sans même le regarde, comme hypnotisé par le tissu flottant du drapeau.
L’elfe jeté à terre fut exécuté par le second kosto de la bande, Paf, qui passait par là. En mourant il vu impuissant le spectacle du porte-bannière se faire littéralement massacrer.

Le chef des elfes avait aussi vu la scène, et décida de venger son camarade de cette cruelle fin. Il finit d’exécuter son adversaire, et se dirigea vers l’orque noir, qui avait abaissé la bannière et la regardait comme si son tissu eu été en or.
Brandissant son glaive magique, il interpela :
« TOI ! Immonde créature, comment ose tu toucher cette merveille ? Tu n’es pas digne de l’art elfique !
-Imond’ créatur’ toa mèm ! Tu t’é vu avek tes zoreilles pointu ? Et pi ki vou ète d’abor’ ?
-Je suis Kaenur ! Envoyé d’Ulthuan, et je vais t’occire ! Meurs !
-Rhaaaargh ! »

Bodork posa délicatement la bannière, et se prépara à se défendre face à son offenseur. A peine levait-il sa hache que les coups tombaient. Jamais il n’avait vu un elfe aussi rapide. Celui-ci était définitivement bien différent des elfes sylvains.
Bodork esquiva et para tant bien que mal les coups habiles de son adversaire, mais tous éraflaient son armures en une gerbe d'étincelles.
Il lui semblait impossible de pouvoir porter un seul coup tant il était occupé à se défendre, et ce qui devait arriver arriva.
Une frappe de la lame de l’elfe traversa l’armure. La lame brillait d’une lueur rouge alors qu’elle gouttait au sang de l’orque noir.
Bodork saignait, mais se devait de réagir. Il sentait bien la douleur de l’arme, c’était inhabituel, elle devait être magique, mais il profita que l’elfe ne pouvait pas l’utiliser pour porter un coup.
L’elfe tomba, sonné par la violence du choc sur son casque, mais il n’était pas blessé. Cependant Bodork n’avait pas la force de l’achever.
Il retira lentement la lame de sa poitrine, il savait que la blessure serai refermée dans une semaine ou deux, et que grâce à sa constitution d’orque noir, ne pouvait pas mourir de ça.
Il porta son regard sur la bannière, et pendant ce temps le chef elfe était emporté par un de ses alliés.
Les hauts elfes s’enfuyaient, ayant perdu moral après la prise de leur étendard et la mise hors d’état de nuire de leur chef.
Rashgaz arriva derrière Bodork qui était à genoux, tenant d’une main sa blessure, de l’autre la hampe de la bannière. Il regarda le chaman en esquissant un sourire carnassier il dit alors :

« Jé trouvé eul’Shadock ! »


Voila !
Episode suivant, l'épisode Bonus de l'attaque du village par lé nabos !

Encore une fois, "C'é du bon". Mais j'ai vu que t'avais mis Litrik a un moment:

Citation :

Il s’interposa alors toute armes dehors, mais Litrik le repoussa sans même le regarde, comme hypnotisé par le tissu flottant du drapeau.

Citation :

il fut enfin a porté de hache des tireurs.

Bizarre cette phrase, j'aurai plutôt mis, "et bientôt les tireurs furent à portée de sa hache". M'enfin c'est mon avis hein.

Allez, la suite !!

Ok je bidouille !
Petit exercice: trouvez vous le clin d'œil au "Seigneur des anneaux" ?

Et niveau littéraire, des problèmes ou pas ?

C'est pas mal!!! En tout cas mieux que ce que je fais.
Niveau littéraire, il y a à la deuxième phrase le mot "revêtu". Je ne pense pas que le "re-" était nécessaire mais c'est un détail d'importance minimale.

Je ne pênse pas non plus la description de l'elfe des orques nécessaires, mais plutôt en narration.

Citation :

On dirai k’il zon des cask’pointu ! Et il zon dés zarmur’, cè pa normal.

Mais plutôt: Les elfes apperçus n'étaient pas équipés de la même manière. Ils étaient équipés de casques pointus et de bonnes armures, cela paraissaient bizarre aux orques mais ils foncèrent en hurlant sans se poser de questions.

Ca fait plus bourrin ( des orques quoi!!!) donc moins subtile ce qui expliquerait la pluie de flèche si rapide sur les orques.

Sinon je vois pas le clin d'oeil au seigneur des anneaux. (La bannière peut être)

Du tout bon! Va falloir que j'adapte mon flouffe...
Clin d'oeil au SdA (marrantmoi je le trouvais trop flagrant):

Citation :

Il dirent aussi « k’un grand pouvoâr se lève » et que « l’temps dé zom est terminé, l’temps d’la Fowaaagh ! est arrivé » (paroles de Gothmog dans le Retour du Roi, le film)et enfin que « sui ki port’ra la pièr’ eud’Karissm’, l’aura pour lé gouver’né tous, et dans le Grand vert, les lié ! »(ce qui est écrit sur l'Anneau)

mais naaan
"le temps des hommes est terminé, l'age des orques est arrivé !"
et
"un anneau pour les chercher, un anneau pour les trouver, un anneau pour les amener tous, et dans les ténébres, les lier"


sympa le phénix-shadock, cela m'a bien fait marrer, cependant la baston avec Kaenur est je trouve un peut facile
je pare je pare je pare il me blesse et je l'assomme, enfin c'est mon avis personnel

après le parler orque c'est mieux on est bien plongé dans l'atmosphère sans être freiné par la traduction en phonétique

a et aussi : je vois des elfes au loin ! on sait pas d'où ils sortent ni ce qu'il font, on s'approche et on les dégomme
un peut facile aussi je trouve : c'est vraiment crédible une bande de HE qui est venue se mettre là 2h plus tôt pour attendre de se faire casser la g** ?

sinan le reste est bon, vivement la suite ^^

EDIT : arf le post de yodan alors que je tape mon commentaire
tu m'a volé la réponse grrrrr

Ok, je prend compte de vos avis !

Voila pour les réponses:

@ M.Fenix: Le truc de l'orque qui s'inquiète du style vestimentaire des elfes, c'est justement fait pour montrer que cet orque en particulier est un as du dégommage des elfes. Après le niveau bourrin, c'est montré par la charge.
Mais sinon je prend note pour le petit "re" !

@ Yodan: Pas mal ! Mais Vg11k a trouvé le reste de ce que t'as pas trouvé !^^

@ Vg11k: Déjà dit au dessus pour Yodan ! Mais sinon c'est vrai aussi que la baston avec Kaenur était facile, mais je ne suis pas aussi doué que toi pour les bastons !^^
Les elfes qui était là était là parce que c'est la route pour Mordheim, ils attendait pas là comme des couillons !

Voila ! Et j'enchaine tout de suite avec l'épisode Hors série qui montre mon flouf croisé avec Arik !

Comme j'ai dit juste au dessus, voici le nouvel épisode !


Bodork préparait son baluchon, et avait devant lui l’étendu de sa collection d’objet précieux. Parmi se trouvaient divers choses plus on moins utiles.
On y voyait de gauche à droite, un vieux tromblon rouillé et hors d’usage, ses réserves de dents (sa richesse personnelle), un sac avec des petits os gravé dont Bodork n’avait jamais compris l’utilité, un instrument de musique étrange (un akordéon), un casque impériale, un tas de petit trophées récupérés sur les elfes sylvains, et surtout un vieux bock de bière poussiéreux, portant des runes assurément naine.

Notre seigneur cherchait à savoir si leur présence était indispensable au voyage à venir.
Il pris immédiatement le sac de dents, pour ne pas qu’on lui vole pendant son absence, et s’aperçut qu’il n’avait plus de place que pour un seul objet. Après un rapide examen, il prit le bock.

Ce bock, il l’aimait bien.
Il l’avait trouvé dans un vieux hall abandonné sous la colline voisine.
Abandonné, pas tellement que ça ! Il avait dû nettoyer la zone des horreurs naines mutantes qui occupaient la zone.
Le hall ressemblait désormais plus à une grotte, et ses occupants devaient être les nains qui se trouvaient dans la zone il y a longtemps, lors du crachat de Morslieb.
L’un d’eux, était tous aussi fou et agressif que les autres, mais semblait physiquement avoir mieux tenu le coup face aux mutations.
C’est ce nain, qui portait sur lui la chope luisante.

Bodork l’avait alors récupéré comme sa part du butin, et buvait souvent avec. Et tout de suite après, il se sentait étrangement bien.

Le seigneur orque noir avait quitté son village pour aller à Mordheim, cependant son remplaçant Kirk (qui se faisait toujours appeler capitaine en l’absence de Bodork) avait pris les rennes du village.
Il régnait sur celui-ci depuis environs 3 heures, donnant des ordres inutiles à tout va, et gouttant les joies de la vie de chef.

Mais déjà les responsabilités venaient sur lui :

« Heuuuuu Kirk ? Demanda un orque qui se marrait à moitié.
-Kapitain’ ! Jé dit kon d’vait m’ap’lé Kapitain’ Kirk ! Kombien d’foi va ki va falloar’ ke j’vou l’diz’ ? »
Kirk envoya en direction de la tête de son interlocuteur, son paluche énorme. Le coup fit un énorme PAF, et le capitaine repris :
« Bon, k’est’tu voulé m’dir sinon ?
-Ya un nabot rigolo kif é l’mariole d’van la pallisad’ ! Y di ki veu parlé au chef ! Dit le trouffion en se massant le joue.
-Oké…. J’y vé ! »

Arrivé au mur du village, il aperçu le nain en question.
Il n’était pas seul, il était accompagné par une vingtaine d’autre nain, mais Kirk comprit tout de suite que c’était celui la qui voulait lui parler car il était plus avancé par rapport au reste du groupe.

« Héla toi ! Le gros orque vert ! Là bas sur le mur ! Est-ce toi le chef de cette merde qui vous sert de village ? »

Un autre nain s’avança, et lui chuchota qu’il avait dit une bêtise, parce qu’un orque c’est forcement vert, et que l’expression « le gros orque vert » ça fait pléonasme. Le chef nain haussa les épaules, et écouta la réponse du peau-verte :

« Ouais cé moa ! »

Kirk ne disait pas la vérité, il n’était pas le chef du village. Mais il hourdait un plan, lorsque Bodork rentrerait de son voyage, il le tuera et prendrai sa place de chef.

« K’ess tu nou veu ?
-Je sais que votre tribu possède la légendaire Choppe de Grugni ! Rendez là nous, et nous ne raserons pas votre gourbi !
-Mé on la pa ta chop’ de merde ! Vien voar’ par toa mèm si tu nou kroa pa ! On t’aten !
-Tu crois vraiment que j'vais me traîner dans ton trou à rat !? Mais t'es encore plus bête que t'en a l'air! On t'a collé une cervelle de grobi ou quoi ?
-Ha cé sa ? Hé bein j’vai vnir tpété ta cheutron ! WAAAGH ! »

Waaagh ! était le signal. Tout les orques posté sur les murs descendirent au niveau ces portes, et s’apprêtèrent à charger.
Un second WAAAGH ! tonitruant du pseudo chef donna le signal de la charge, et fut repris cette fois par les peaux vertes qui chargeaient.

Avant l’impact, plusieurs volées de flèches furent échangées entre les protagonistes. Carreaux d’arbalètes du côté des nains, flèches grossières cher les orques.
Les flèches des orques ne firent presque pas de dégâts chez les nains, mais du côté des archers se trouvait Kirk.
On pouvait trouver étrange qu’un « chef » orque préfère le tir au corps à corps, mais il faut dire que celui là était aussi lâche qu’un gobelin.
Kirk visait mieux que la plupart des orques, et s’amusait un peu. Il prit pour cible un nain, qu’il estima être le plus ridicule puisqu’il était presque tout nu, en plus, sa barbe était orange. Il le toucha à la jambe et passa quelques secondes à rigoler en le voyant boiter, puis repris un autre nabot pour cible.

La charge aboutit finalement.
Bien que tous les orques archers des murs avaient cessé le feu pour éviter de toucher leurs camarades, Kirk continuait. En même temps il observait le déroulement du combat. Il était bien parti au départ pour les orques, qui démembraient les gnomes à barbes, cependant la tendance s’inversa.
Les nains s’avérèrent plus coriaces que prévu. Surtout le petit arrogant qui avait osé l’insulter avant la bataille.
La bataille commençait vraiment à tourner à la débandade chez les orques. Kirk s’en rendit compte, et décida qu’il était urgent de se replier à l’intérieur du village, et d’aller chercher « ses » armes de baston dans la tente du chef.

Lorsqu’il y parvint, il ramassa une masse qui trainait par terre. Il se retourna pour sortir de la tente sombre. (Une belle tente très isolante que Bodork avait volée à un capitaine impérial)
Un grand orque, bloquait la sortie de la tente en croisant les bras. Kirk ne le reconnu pas, car il le voyait en contre jour.

« Barre toa d’mon ch’min abruti ! Obéiiiiis a ton chef.
-NON. Répondit l’ombre »

Kirk était devenu vert pâle. Il avait tout de suite reconnu la grosse voix de Burg l’idio du village’.
Burg suivait toujours Bodork comme un petit squig-chien, et lui obéissait toujours sans poser de question. Il était très fort, malgrès le fait qu’il était un orque ordinaire, il égalait facilement un orque noir.

« Bodork ma d’mandé d’garder sa tente ! Alors j’gard’ la tente. Dit calmement la brute épaisse.
Poz cèt mass par ter’ sinon…
-Sinon koa ? t’va me tué ?
-Exak’. »

Kirk abattit sa masse en direction de Burg, qui stoppa celle-ci avec sa main.
Burg jeta la masse dans le fond de la tente, avec Kirk par la même occasion.
Il tira son couteau de son fourreau, et pris un pal qui était dressé au milieu de la tente et sur lequel était déjà planté une tête d'humain (le capitaine anciennement proprio de la tente). Dans les yeux apeurés de Kirk, on voyait bien qu’il avait compris ce que Burg allait faire de lui.

Un peu plus tard, Burg était sorti de la tente, après s’être équipé de son gantelet à pointe, ainsi que de sa masse, celle là même que Kirk avait prit et qu’il rangeait habituellement prêt de Bodork pour pouvoir le protéger en cas d’urgence.
Il entendit du bruit venant du bout de l’allée, il aperçut alors trois orques non armés, poursuivis par trois nains. Dès qu’ils arrivèrent à son niveau, il se mit à courir avec eux et leur demanda :

« Pourkoa vou ète pa d’van le village’ ? Ya pa la baston là ba ?
-Si ! Y’avé, mé cé l’gro bordel maintenan ! Et eu dèrrièr y son pas conten ! »

Burg vit alors que les trois orques portaient sur eux des arbalètes, certainement volé aux nabots furieux qui les poursuivaient. Burg dit :

« V’né, on va sortir par eul’port’ eud’dèrrièr’ ! »

Il fit bien, car des qu’ils eurent quitté l’allée, le chef des nains arrivait et commençait son inspection de la tente de Bodork.

« v’né, on va r’joindre Bodork, not’ Vrai chef ! »



Voila ! C'est Arik qui va être content !^^
A vos claviers mes chers critiques !

PS: Un bon point à celui qui me trouve la référence à Star Trek !

Edit: Modifié selon une phrase judicieuse de Yodan !^^

Sympa le truc de l'idiot du village, j'ai bien aimé
perso star trek connais pas

l'orque à but dans l'artefact nain sacré ? bien joué !!! faut que je t'envoi un sac d'or l'ami =D

question : y a pas de squigs ou gobs' dans ton armée ?

vivement la suite !

Non, il n'y a pas de gobelin dans mon armée.
Ils sont généralement affecté comme les autres races par le brouillard et mutent.
C'est pourquoi ils sont tous tués dès qu'il y en a.

Par contre il y a quelques squigs, dans la foss' séptik' et autours du gard' mangé'.

Le sac d'or, envoie le moi par MP !^^
L'idiot du village me plait aussi !

Litrik a écrit:

Parmi eux on trouvait divers choses plus on moins utiles.

se trouvaient passerais mieux je pense

Litrik a écrit:

son remplaçant Kurk (qui se faisait toujours appeler capitaine en l’absence de Bodork)

Kirk =p

Litrik a écrit:

Kirk envoya en direction de la tête de son interlocuteur, sa paluche énorme. Le coup fit un énorme PAF, et le capitaine repris :

Kirk envoya son énorme paluche en direction de la tête de son interlocuteur

de plus costaud l'interlocuteur, il se prend une baffe mais il continue quand meme de parler

Litrik a écrit:

-Ya un nabot rigolo kif é l’mariole d’van la pallisad’ !

gros mdr ici

Citation :

car il était plus avancé par rapport au reste du groupe.

un pti c cédille ç serait je pense le bienvenu pour une meilleure fluiditée

Citation :

Mais il avait ourdi un plan, lorsque Bodork rentrera de son voyage, il le tuera et prendrai sa place de chef.

depuis quand il a établit un plan l'vicieux norque ?
met cette phrase à l'imparfait sa passera mieux

Citation :

Hé bein j’vai vnir tpété ta cheutron ! WAAAGH ! »

pitain il fait du verlant le bougre ??? baleeeze

Citation :

Avant l’impact de la charge,

enleve charge, tu te repete

Citation :

Les flèches des orques ne faisaient presque pas de dégâts chez les nains,

met firent pour la fluiditée stp

Citation :

mais il faut dire que celui là était aussi lâche qu’un gobelin.

pan dans les dents !

[/quote]. Il prit pour cible un nain, qu’il estima être le plus ridicule puisqu’il était presque tout nu, en plus, sa barbe était orange. Il le toucha à la jambe et passa quelques secondes à rigoler en le voyant boiter, puis repris un autre nabot pour cible.
[/quote]
+1 !!!

Citation :

qui démembraient les gnomes à barbes

heee j'ai mit un copyright sur cette expression ! (en fait il est détenu par mr RA Salvatore et son personnage Bruenor jurant régulièrement : il est encore dans l'pétrin ou j'suis un gnome à barbe !)

Citation :

décida qu’il était urgent de se replier à l’intérieur du village, et d’aller chercher « ses » armes de baston dans la tente du chef.

Ho le rigolo il a meme pas prit son Kikoup !

Citation :

. Kirk ne le reconnaissait pas, car il le voyait en contre jour.

reconnut stp, pour la fluidité

Citation :

Kirk était devenu vert pâle.

+1 !!!!!!!!!

Citation :

Il tira son couteau de son fourreau, et pris un pal qui était dressé au milieu de la tente et sur lequel était déjà planté une tête d'humain (le capitaine anciennement proprio de la tente)

=°

Citation :

Il entendit du bruit venant du bout de l’allée, il aperçut alors trois orques non armés, poursuivis par trois nains. Dès qu’ils arrivèrent à son niveau, il se mit à courir avec eux et leur demanda :

là javoue c'est ambigue : ils sont poursuivis et il cours avec eux plutot que massacrer les nabots ???
de plus ils quittent le camp avec les les gnomes à barbe au c** ????

vala c'est très objectif, mais cela va grandement améliorer le tout
bon boulot l'boyz !

Bein je suis content !
Ça c'est un post de critique comme je les aime !^^

J'ai revu et corrigé les trucs que tu m'a dit.

Pour le copyright, je te verse les droits d'auteur par MP !

Sinon je suis content que certain passages t'ai plus, je me suis lâché !
Pour une fois qu'il n'y en a pas que pour les elfes...

Citation :

Un autre nain s’avança, et lui chuchota qu’il avait dit une bêtise, parce qu’un orque c’est forcement vert, et que l’expression « le gros orque vert » ça fait pléonasme.

Ca être de Star Trek? (j'en sais rien je ne connais pas...)
Bon je dit un gros +1 a tout ce qu'à dit vg11k (surtout le coup de la paluche que tu n'as pas corrigé, et qui choque vraiment), sauf sur:

Citation :

Kirk envoya son énorme paluche en direction de la tête de son interlocuteur
de plus costaud l'interlocuteur

(? pas compris)

Citation :

un pti c cédille ç serait je pense le bienvenu pour une meilleure fluiditée

Euh... ou ça? tu veux dire un "s" à "car il s'était plus avancé par rapport au reste du groupe" ?

Citation :

depuis quand il a établit un plan l'vicieux norque ?

Si le plan est génial!

Citation :

ils sont poursuivis et il cours avec eux plutot que massacrer les nabots??

Ben voui c'est un idiot, et ce sont ses potes...

Citation :

de plus ils quittent le camp avec les les gnomes à barbe au c** ??

Ils s'en foutent ils courent plus vite, et le village est foutu de toutes façons...

Sinon,

Citation :

Il pris immédiatement le sac de dents, pour ne pas qu’on lui vole pendant son absence, et s’aperçut qu’il n’avait plus de place que pour un seul objet. Après un rapide examen, il prit le bock.

C'est assez bizarre: les objets restant ne sont pourtant pas tous de la même taille (ou alors on nous cache des trucs, le bock est en fait la vasque sacrée du grand Yimbolo!^^)

Citation :

pas tellement que ça

pas tant que ça ^^

Citation :

Dit le trouffion en se massant le joue.

Sans ça, cela aurait été aussi bien, voire mieux AMHA (ça fait trop artificiel là)

Citation :

Non je ne viendrai pas voir ! Je vais rester ici, et tuer tout membre de ta race abjecte tentant de sortir du village, et jusqu’au dernier !

Là ce n'est clairement pas un langage de nain! (pas d'insultes, patient, "abjecte", on dirait un HE ^^(Aaaarrgh horreur des horreurs!)

Citation :

du pseudo chef

Je n'aime pas le mot pseudo, mais là comme ça, à froid, je ne vois pas par quoi le remplacer.

Citation :

La bataille commençait vraiment à tourner à la débandade chez les orques. Kirk s’en rendit compte, et décida qu’il était urgent de se replier à l’intérieur du village, et d’aller chercher « ses » armes de baston dans la tente du chef.

Bizarre, n'est-il pas aussi lâche qu'un grobi?

Voilà, sinon j'ai bien aimé les diverses touches d'humour (citée par vg11k)!